Les champs des fleurs à couper, dans lesquels vous pouvez cueillir des fleurs en toute autonomie, ont rouvert depuis peu. La saison redémarre !
Les Champs des fleurs à couper, ce sont 7 lieux, tous situés dans la région. Dans ces champs, vous pouvez aller vous-mêmes chercher des fleurs, à couper sur place. La fin du printemps marque le début de la saison et les champs sont désormais prêts à accueillir ceux qui veulent s’offrir une récolte.
La gestion de ce projet, qui existe depuis des années, a été reprise en 2020 par Laurence Limbort et son mari, Benoit Roland. « L’ancien propriétaire est malheureusement décédé. À ce moment-là, nous avons repris le concept et nous l’avons étendu. On a trouvé de nouvelles parcelles. À l’heure d’aujourd’hui, il y a 7 champs, qui couvrent deux hectares de terrain« , explique Laurence.
La cueillette a commencé le week-end du 25 mars et devrait être possible jusqu’en octobre ou novembre. La limite, ce sont les premières gelées. « On commence les plantations en automne. Nous avons planté les tulipes et les narcisses en automne, elles arrivent en fleur au printemps. Après, il y a aussi des plantations tout au long de la saison pour avoir des fleurs qui fleurissent de mars à octobre« , continue la fleuriste.
Un vaste choix de plantes
En parlant de fleurs, les champs regorgent de différentes variétés. Il y a de quoi faire un beau bouquet. « Il y a des narcisses, des tulipes, on va avoir des iris, des pivoines, des lys, des glaïeuls, des tournesols, des dahlias et cette année-ci, on commence la production de fleurs sauvages. Nous arons ainsi des bandes fleuries avec une trentaine d’espèces. C’est aussi une première pour les iris et le lys« , précise-t-elle.
Un échange qui se base sur la confiance
La cueillette des fleurs est libre, personne ne fait le guet sur place pour surveiller. Tout se base sur confiance entre les fleuristes et les clients. « On met à disposition des couteaux. On demande aux gens de ne pas arracher les bulbes, parce qu’on les récupère d’une année à l’autre. En fonction du nombre de tiges coupées, le client va calculer le montant qu’il doit payer et le prix est affiché à la caisse. Le client peut payer en liquide ou en scannant un QR Code, mais il peut aussi faire un virement sur un numéro de compte. On demande juste qu’ils laissent le couteau sur place. De manière générale, les gens sont très respectueux et respectent le principe de confiance« , ajoute Laurence.
Laurence et Benoit vous attendent avec impatience dans un de leurs champs, à Braives, Hannut (croisement de la rue de Landen et de la rue Henrifontaine), Waremme (croisement de la chaussée romaine et de la rue de Huy), Hognoul (rue Chaussée 92-94), Wanze (croisement de la N643 et de la rue de Bas-Oha), Villers-Le-Bouillet (sortie 6 de la E42) et dans le Golf de Naxhelet. Plus d’informations sur la page Facebook ou au 0483/12.33.15.